Une randonnée de la « Chandeleur » perturbée par la météo.

10 février 2018 Gilbert Rieger Activités, Non classé, Nos sorties

Une randonnée de la « Chandeleur » perturbée par la météo

 Ce dimanche, 4 février, le club vosgien de Haguenau-Lembach, avait organisé une demi-journée pour offrir une belle « randonnée Chandeleur » à ses membres. Malheureusement, une météo très médiocre et surtout très hivernale est venue troubler la trentaine de marcheurs guidés par Jean-Claude. Après avoir enfilé moufles, écharpes et bonnets, le groupe se dirigea vers la sortie de Lembach pour emprunter les sentiers balisés par le club vosgien.

Le guide du jour n’a pas été affecté par ce temps froid et humide. Il a fait appliquer les recommandations d’usage. Non seulement le sport n’est pas déconseillé l’hiver, mais l’effort par grand froid stimule l’immunité. Il n’y a plus aucune raison de rester enfermer au chaud, il faut y aller. Avant de partir, le guide a vérifié l’habillement des marcheurs afin de leur éviter d’entrer en sueur trop vite. Quelques conseils pour s’hydrater, car le froid diminue la sensation de soif.

Le guide  a commencé à marcher lentement au début pour faciliter un échauffement progressif. Se fiant à son expérience, le chef de course a fait preuve de prévoyance pour les randonneurs courageux.

Finalement, la boucle prévue a duré environ 1h30. Pendant que les marcheurs se décarcassaient, de bonnes âmes sont restées au chalet pour préparer des boissons chaudes et des gâteries. Les crêpes sucrées arrosées de cidre firent l’unanimité.

C’est ici que l’on peut citer un vieux proverbe « Délicate ou grossière, la nourriture est toujours bonne quand l’appétit l’assaisonne ». Prendre un repas en commun cela n’a pas de prix, c’était formidable. Dans notre société, beaucoup de gens prennent leur repas en solitaire devant les écrans pour pallier à la solitude. Ce n’était pas le cas ce dimanche.

Les randonneurs ont savouré ce moment de partage et goûté aux produits de différents terroirs apportés par l’une ou par l’autre. Un repas d’une joyeuse confusion. Toute la nourriture proposée était faite maison, un vrai régal. La transmission du savoir-faire culinaire de mère à fille a fait merveille, c’était encore le fait d’un bon héritage entre générations.

Tous se sont quittés rassasiés, avec une envie chevillée au corps pour revenir.

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 Joseph Burckel ,Chargé de communication

5 janvier 2018